thomas - dark horse

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Thomas Lancaster Ce qui compte, c’est pas la force des coups que tu donnes, c’est le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant d’avancer. Ce que t’arrives à endurer tout en marchant la tête haute.

NOM(S) ✮ son nom est Lancaster, nom qu'il tient de son paternel. Banal en soi. Seulement, Thomas n'a jamais connu ce dernier ni même sa mère, morts dans un accident de voiture. Le jeune n'avait que trois ans lors du drame. Il a donc du apprendre à vivre sens parents et affronter les moqueries à l'école. Les enfant peuvent être très méchants entre eux.PRENOM(S) ✮ Thomas mais beaucoup le nomment Tom. Il le tient de son grand père maternel. Un seul prénom suffit bien, pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?DATE DE NAISSANCE ✮ Thomas est né un certain 8 Juillet en 1983. Il a donc trente et un ans sans réellement le réaliser. La vie passe bien trop vite à son goût, mais de toute façon, il est connu que l'être humain n'est jamais satisfait de ce qu'il a. LIEU DE NAISSANCE ✮ Tom est né à New York ou la grosse pomme, comme on veut. Aussi longtemps qu'il puisse se souvenir, il a vécu dans le Bronx, un quartier peu réputé pour sa qualité de vie. Cependant, on peut dire que les expériences vécues là bas, ont forgé Tom. STATUT CIVIL ✮ Tom est célibataire. L'amour a toujours était un problème, compliqué et perturbant pour lui. Pourtant, son cœur il le donne en entier, sans retour possible. ETUDES/METIER ✮ Tom n'a jamais voulu faire de grandes études. Tout petit, il voulait déjà devenir comme son père qu'il n'a pas connu. Dés qu'il a pu, il s'est engagé dans l'armée de terre. Mais c'est du passé désormais, il cherche a se reconvertir et surtout, retrouver une vie, une vraie vie, simple. Un petit boulot lui fera surement l'affaire. TRAITS DE CARACTÈRE ✮ autoritaire - mystérieux - secret - jaloux - impulsif - honnête - tolérant - attachant - adulte - protecteur - fidèle - têtu - aimant - renfermé. GROUPE ✮ UNDER THE WATER.

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The only easy day was yesterday

CHAPITRE I, MAKE ME FEEL ALIVE
Vivre est une nécessité, mais d'abord un droit, un privilège. Alors quoi ? Devons-nous vivre de façon banale ? Croquer la vie, essayer, se tromper, courir, rire, pleurer, aimer, détester, souffrir, être heureux. Tout doit être vécu sans exception et surmonté. Vivre la vie comme elle vient, comme elle est, pleinement. Le temps passe vite, allez y, faites vos propres expériences, n'hésitez pas. A quoi bon de toute manière ? La vie nous réserve pourtant certaines surprises que l'on ne veut pas franchir, trop dures à supporter, une page qui se ferme dans la douleur pour ne jamais se rouvrir. Injuste, la vie nous offre pourtant des moments inoubliables, des sourires et regards qui suffisent pour dire tellement. La vie ne se résume pas, elle se vit. Il y a des choses que l'on ne peut expliquer par des mots. Autant ne rien dire parfois, simplement regarder, observer et entrer en action. Quand l'amour nous prend, comment s'en débarrasser ? Nous sommes dans un état de plénitude et notre vie dépend de celle d'une autre. On commence à faire des projets, imaginer notre avenir. Cependant, on sait toujours qu'il y a une fin aux bonnes choses, parfois plus tôt que prévu. Ce sentiment de déception nous envahit, à quoi bon se battre ?

Tout le monde n'a pas une vie facile vous savez. Après, il y a la manière de la raconter. Il y a ceux qui font tout pour que cela soit pathétique, qu'on les plaigne, qu'on les réconforte. Puis il y a ceux qui n'ont pas besoin et qui n'ont pas envie de la pitié des gens. La pitié, c'est pour les minables. Ensuite, ceux qui ont une vie où tout est beau et où tout est rose, ils mentent tout simplement. Je ne veux pas vous faire croire que je suis un philosophe, en exposant ma théorie sur la vie, sur les difficultés et tout ce baratin. Je dis simplement que tout le monde fait face à des difficultés dans son existence, plus ou moins notables. Mais après tout, c'est simplement l'histoire d'une vie, d'une chose insignifiante en soi. Selon moi, on finit tous au même endroit à la fin, alors qu'est-ce qu'on en a à foutre de toute cette merde ? Mais qu'est-ce qu'un mec comme moi peut-il bien dire de la vie ?

Les relations familiales sont souvent compliquées, seulement, c'est ces dernières qui font de nous qui nous sommes. Elles ont toujours des impactes sur le reste de notre vie. Grandir sans parents fût, je pense, assez difficile. Mais comment juger lorsque nous n'avons connu que cela ? Je sais simplement que cela à permis à ma sœur et moi même d'être beaucoup plus proches que d'autres dans une situation différente. Nous avons toujours fait en sorte de ne jamais être séparés, nous montrant tels des enfants horribles aux familles voulant adopter. Seuls contre le reste du monde. Cette phrase nous définie bien. Fut un temps, c'était elle qui me protégeait. Pus vieille que moi d'un an. Désormais, on ne sait plus vraiment. On se protège mutuellement. Je regrette seulement de l'avoir laissée ces dernières années. Lorsque j'étais en Irak, elle état seule contre le monde extérieur. Et dieu seul sait à quel point ce dernier peut être un enfer. Je l'ai bien vu à mon retour il y a trois ans. Mais tout cela prouve simplement qu'elle est la femme de ma vie, c'est inexplicable. Peu de personnes le comprennent et le tolèrent. Changer n'est pourtant pas au programme. Le temps où nous étions des enfants, innocents et insouciants était beaucoup plus simple que le monde adulte. Nous irions dû rester ces enfants là, dans un monde imaginaire et parfait, NOTRE monde.

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CHAPITRE II, SORRY TO LOVE YOU
L'amour, un sentiment sans lequel l'homme ne pourrait vire. Il nous donne une raison à notre existence, nous permet de faire des projets, de vivre tout simplement. Marilyn et moi nous sommes rencontrés à l'école de l'armée de terre, là où tout débute, la formation. Ce petit bout de femme au milieu de tous ces hommes. J'avoue que plusieurs fois elle a eu le droit à mes critiques incessantes. Elle a du caractère, il m'est donc impossible de ne pas jouer avec ses nerfs. Beaucoup de nos collègues avaient remarqué notre rapprochement, cela faisait déjà plusieurs années pourtant que nous étions ensemble. Mais dans le monde de l'armée, il vaut mieux garder cela pour soi. Nos supérieurs ne l'accepteraient pas. Même si pourtant, ils s'en doutait. Lors de notre dernière permission, Marilyn m'avait annoncé qu'elle était enceinte. Je n'arrive toujours pas à le réaliser. Je vais devenir papa ! Nos métiers ne sont pourtant pas réellement bons pour une vie de famille, encore moins pour une femme enceinte. Lors de l'annonce de cette merveilleuse nouvelle, j'ai pleuré. Je l'avoue et n'en ai pas honte. Pourquoi être honteux de toute manière ? Il n'y avait pas de meilleur moment en plus. Seulement, Mari n'est pas du genre à éviter les efforts sur e terrain. Elle n'a pas voulu m'écouter et signaler sa grossesse à fin qu'elle soit arrêtée le temps qu'il faut. Non, madame veut continuer ses activités, tel un homme comme elle dit toujours. Comment être tranquille en de telles circonstances ? Ainsi, j'étais sans arrêt en train de la surveillée. L'avantage est que nous étions dans le même secteur et sur la même mission. Comment ce concentré lorsqu'on sait que notre femme est sur le terrain, enceinte. La nuit venait de tomber sur le camps et Marilyn n'était toujours pas revenue du terrain. Je n'en pouvais plus et je ne pouvais dormir. Dehors, j'entend des hommes crier au secours pour appeler un médecin. Pitié non. Je cours vers Marilyn, portée à out de bras par un confrère. Cette dernière saigne, pourtant, elle n'a aucune blessure due au combat. Il était déjà trop tard de toute façon; elle venait de perdre mon plus beau rêve. Les larmes coulaient sur ses joues. « Je suis désolée Tom, je suis désolée ... » dit-elle alors que j'étais totalement paralysé. Je suis en voulait, elle n'avait pas suivit mes conseils et n'avait pas fait attention à elle. Voilà maintenant qu'elle vient de perdre notre enfant. Même cela faisait seulement quelques semaines qu'elle était enceinte, c'était tout de même mon enfant pour moi. Mais ai-je réellement le droit de lui en vouloir ? Il s'agit également de son enfant et non seulement du mien. Je savais pourtant que je lui portait un regard noir, plein de haine. Un médecin arriva alors que j'étais toujours là, en train de la regarder sans bouger. Il la prise en charge alors que je tombe au sol, envahi par la tristesse. Je restais ici, durant plusieurs heures il me semble, dans le nuit noire. C'était comme vide dans mon esprit, incapable de penser à quelque chose. Le lendemain, je décide enfin d'aller la voir, elle, pourtant mon unique amour. Elle était allongée dans son lit d’hôpital ou ce qui peut y ressembler. Soulagée enfin de me voir. J'ai régit comme un connard, je le sais, mais c'est comme cela. Sans un mot, je m'assoie a ses cotés et dépose un baisé sur ses lèvres. Elle s'excusa encore une fois mais je ne décroche aucun mot. Elle sait aussi bien que moi que c'est de sa faute ce qu'il s'est produit. Me glissant avec elle dans son lit, je la prend dans mes bras, la tête dans ses cheveux, son dos face à moi. Elle serra aussi fort que possible mes bras alors qu'une larme s'échappa et coula le long de mon nez. Elle aurait pu y passer elle aussi, heureusement que non, je ne sais pas ce que je ferais sans elle. Nous ne nous décrochâmes aucun mot et le sommeil nous rattrapa rapidement. Ô maison, jolie maison, où es-tu ? Que vite nous partions d'ici.

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CHAPITRE III, LOOSING EVERYTHING
« Parler à un inconnu, lui raconter ta vie. Wow ! Tellement fantastique. C'est pas parce que je vais vous parler durant une heure que vos allez savoir d'où vient mon problème. Je le fais seulement parce que je suis obligé. J'espère au moins que vous pourrez écrire dans votre rapport des choses bien intéressantes ! Leur excuse de traumatisme. C'est simplement pour essayer de m'évincer tout simplement. Alors quoi, ça y est, je perd de nombreux homme au combat, dont mon meilleur ami et je suis devenue fou ? Dangereux pour moi même ? Nous le somme tous. Je ne suis pas un exception. Qui de tous ces soldats ressortira indemne de toute cette merde ? Vous en fait pas, j'ai besoin de personne pour trouver ce qui ne va pas chez moi. C'est tout simplement ce monde de fous. Je ne sais plus réellement pourquoi cette guerre à lui, je sais juste que je fais tout ce dont il est possible pour rester en vie et qu'il y ait le moins de pertes possible. Et après c'est moi qui suit fou ? Pitié. Pourquoi ai-je voulu suivre l'exemple de ce père, pourtant inconnu ? Cela allait me rapprocher de lui ? Pitié. J'ai vraiment des idées peu intelligentes parfois. Ça m'a apporté quoi d'être un soldat ? Le respect ? Mais comparé à cela, j'ai pourtant déjà trop perdu. Alors quoi, je dois faire une liste ? Très bien : ma sœur, je me suis éloigné d'elle et je le vois que très rarement. Je n'ai toujours pas vu min filleul et il va avoir deux ans. Ensuite, j'ai perdu mon enfant. Ma compagne, soldat également, a fait une fausse couche sur le terrain. Génial non ? Et là, je viens de perdre mon meilleur ami. Je 'ai même pas envie de raconter les détails de sa mort. J'étais pourtant aux premières loges. N'est-ce pas assez ? Voir ses amis ce faire tuer et perdre sa vie ? Et voilà que désormais j'en perd l'esprit. Que dois-je donner de plus ? Ma liberté ? Jamais. Je ne suis pas fou, je suis simplement un homme comme les autres. Un homme qui est fatigué de tout cela, qui veut tout simplement vivre mais donc ces cauchemars m'en empêchent. Alors merde, j'ai pas besoin d'un connard de psychologue, j'ai besoin de me retrouver, de partir et de recommencer ma vie là je l'avais laissée, c'est à dire nul part. » sur ces paroles, je quitte le bureau du médecin, claquant la porte derrière moi.

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CHAPITRE IV, US AGAINST THE WORLD
La mort, un terme qui nous fait si peur mais portant, nous y sommes confrontés constamment. Nous finissons par ce stade vous allez me dire. Mais il y a une différence entre être conforté soi-même avec le fait de mourir et ôter la vie d'une personne, bonne ou mauvaise. Sur le terrain, on ne se pose pas vraiment la question, même si la première personne touchée par notre balle provoque toujours un sentiment bizarre, un froid dans le dos. Alors quoi ? Dois-je vivre avec cette culpabilité ? Bien entendu, on ne peut gère se l'enlever de la tête. Quoi qu'on fasse, on s'en voudra toujours. Pourquoi lui et pas moi ? Ai-je le droit t'ôter la vie à quelqu'un ? Qui a le droit au final ? La période de permission était enfin arrivée, une délivrance ais également un supplice. Le retour dans la vie réelle puis-je dire, n'est jamais facile. Commet expliquer aux gens ce qu'il se passe ? Vivre une vie banale et tranquille le temps de quelques semaines pour ensuite retourner là-bas. Tout semble différent à chaque fois, comme si j'avais louper des épisode d'une vie qui n'est pourtant plus la mienne. Qu'est devenu ma vie ? On s'éloigne des gens aimés et ils deviennent des inconnus. Arizona. Je n'ai pas vu ma sœur depuis plus d'un an. Qu'est-elle devenue ? Lorsque je l'ai quitté, elle était prête à accouchée. Pourtant s'était fait une promesse. L'assister durant ce moment, tenir Nolan à la maternité, lui offrir sa peluche et des ballons, lui donner le biberon. Ce genre de choses. Mais au final, je n'ai pu rien faire, je suis simplement parti. Comme toujours. Je l'ai abandonné. Avant c'était nous deux contre le reste du monde et c'est devenu elle contre tous. J'ai seulement tenu une promesse, rester en vie. Je ne sais même plus si je suis resté moi même cependant, son Thomas, son frère. La pote s'ouvrit sur une Arizona tremblante, apeurée et surprise. Elle garda la porte bloquée pour que je puisse entrée. J'avais pourtant un grand sourire aux lèvres qui disparu en un rien de temps. Je compris tout de suite. Quelque chose n'allait pas. Je veux bien croire qu'elle soit surprise de me voire, mais en temps normal, elle m'aurait sauté dans les bras en pleur. Je pus découvrir que sa lèvre était gonflée et que sa joue portait une marque de coup. Le salop. Je savais que c'était lui, qui ça pourrait être de toute façon ? Elle ma laisserait entrer si non. Malgré mon insistance, elle refusa, toujours. Je l'ai abandonnée et voilà ce qu'il se passe. Elle se retrouve avec un mari violent, une maison qui tombe en ruine. Ce n'est pas la vie de rêve qu'on s'était promis. On s'était pourtant juré de ne jamais se quitter, d'avoir chacun une belle maison avec la personne qu'on aime. Les enfants qui jouent ensembles dans le jardin lors du repas du dimanche. Un boulot stable, de l'argent, une vie épanouie. Et voilà où nous en sommes arrivés. Je suis en colère contre moi, contre Julian, contre ce putain d'accident qu'à eu nos parents, contre cette fausse couche, contre cette erreur de ma part, qui a coûté la vie de Mike, contre cette armée de merde, contre cette vie de merde. Pourquoi jamais ne se passe comme prévu ? Nos rêves d'enfants sont donc faits pour ne jamais se réaliser ? C'est bien beau alors de nous éduquer avec toutes ces images de familles parfaites et vies parfaites. Pourquoi ne pas nous dire la vérité depuis le début ?! Je le frappais, encore et encore, sans jamais m'arrêter. Sans réellement savoir pourquoi ? Méritait-il cela ? Le cœur explosant dans ma poitrine, je savais ce qu'il se passait mais je ne voulait pas m'arrêter et ne le pouvais. Peut-être est-ce à cause de toute cette haine en moi ? Peut-être est-il temps de la sauver ? De venir à son secours ? Mais cela va-t-il arranger es choses ? Qu'elle solution de toute façon ? Atteindre le fond, pour mieux remonter. Voilà ma solution. Une fois qu'on touche le fond, il n'est plus possible de tomber plus bas. Je me bas pour elle, pour lui, plus pour moi. Il serait temps Thomas. Je continuais de frapper alors que la vie s'était déjà échappée de Julian. es mains était pleines de sang alors que tout était flou autour de moi. Mais q'est-ce que j'ai fait bordel ?! Où est Arizona ? J'ouvris en titubant toutes les portes autour de moi pour enfin la trouver, dans le noir avec Nolan dans les bras. Elle était terrorisée. Je suis un monstre, mais c'est fini, enfin. Une douleur au niveau de l'estomac m’emporta. N'est-ce qu'un cauchemar ? Réveillez moi.

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OMFG tu veux me tuer avec un choix et un avatar pareil. ouah

J'exigerais un lien (a)
Bienvenue parmi nous mon beau. ouah

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Ha trop contente que ça te plaise :D
Pour un lien c'est oui ! obligé Wink

ma Boite MP est ouverte bien sûr, pour tout lien :D

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Milo. bienvenue par ici et bon courage pour ta fiche !

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Bienvenue

Vingt Dieux, Milo qu'est-ce qu'il est beau :excited:

Un fantasme de toute mon adolescence friends

OMG tu veux ma mort sur la conscience là??!! ouah

L'homme de ma vie quoi hehe

Bienvenue

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Bienvenue

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OMGEY Milo :dead:

Quel choix !! Bienvenue parmi nous et si tu à besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas ouah

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Merci de l'accueil :D ça me fait super plaisir :D
Heureuse que Milo vous plaise ! Que des vava de fou ici en plus, un accueil parfait en plus :D
Je suis aux anges !! gruik

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Mais de rien petit lapin. ouah

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Ex prisonnier, tiens donc nous faudra un lien, en tout cas bienvenue et bonne chance pour ta fiche ♥

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gilliam z. monroe : JAX !!! trop bien ! Tu as devant toi une fan de SOA ! Charlie, le trafic et tout, comme ans SOA, ça déchire ! Alors obligé qu'il nous faudra un lien !! Wink

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Bienvenue x)

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Thomas Lancaster a écrit:: gilliam z. monroe : JAX !!! trop bien ! Tu as devant toi une fan de SOA ! Charlie, le trafic et tout, comme ans SOA, ça déchire ! Alors obligé qu'il nous faudra un lien !!

Entre fana de la série, on ne peut que s'entendre, tu m'autorise à épouser ta soeur ? *O* ! Sinon hâte qu'on se trouve un super lien de la mort qui tue