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 Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis

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Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis Vide
MessageSujet: Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis   Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis EmptyMar 14 Oct - 13:31

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Crédit : Shiya
Genesis & Aiden

Il ne voulait pas être ici, intérieurement il était persuadé de ne rien avoir et physiquement il se sentait bien et toujours d'attaque, même si par moment il avait mal à la tête et ressentait quelques vertiges. Mais ce n'était rien, il y avait tant de blessé à la gare, tant de gens à aider, qu'il était en colère de se retrouver ici, lui-même blessé. Alors que ses collègues tentaient de dégager les décombres qui retenaient une femme, Aiden se chargeait de l'occuper, de la rassurer quand un tas de pierres tombèrent et il ne pu se retenir de protéger la demoiselle, n'écoutant que son courage il se coucha presque sur elle, utilisant son propre corps pour la protéger. Bien évidemment il reçu plusieurs morceaux sur la tête, dont un assez gros qui lui causa une plaie ouverte au niveau du front. Il ne se plaignit pas, pas même de la douleur, il serra juste les dents et se détacha de la demoiselle, qui le regarda soudain étrangement, lui signalant qu'il perdait du sang. Effectivement un filet de sang perlait sur sa joue et son cou, voyant cela un de ses collègues lui ordonna d'aller se faire soigner. Aiden ne le voulait pas, il souhaitait rester auprès d'elle, et puis après tout il était le lieutenant c'était à lui de donner les ordres maintenant, mais le chef de la caserne débarqua et à son tour lui donna l'ordre de filet à l'hôpital pour se faire soigner et également pour subir un examen plus approfondi.

Voilà pourquoi il était à l'hôpital, en train d'arpenter le couloir avec un gros morceau de coton humide qu'il pressait sur son front, le coton n'était plus blanc mais rouge, la plaie saignait moins mais il persistait un léger filet. L'hôpital était bondé, il y avait un tas de blessés qui attendaient d'être pris en charge, les ambulances ne faisaient qu'aller et venir. Les médecins et les infirmiers couraient dans tous les sens parant au plus pressé, s'occupant des cas les plus graves. Aiden avait juste envie de se désinfecter lui-même la plaie, de se faire ensuite un bandage et de retourner à la gare. Il soupirait dans son coin, à la fois énervé et se sentant inutile, un peu comme un lion en cage, quand il aperçut un peu plus loin une jolie blonde. Il ne la remarquait pas parce qu'elle était belle, mais il faut avouer qu'elle était tout à fait ravissante, mais plutôt parce qu'il l'avait déjà vu, sur les lieux de l'accident. Il n'hésita pas un instant, il alla la voir, légèrement curieux.

Tout va bien ?

C'était une question carrément ridicule, si elle était ici il était évident que tout n'allait pas bien. Mais attendait-elle, elle aussi, pour des soins ou bien était-elle ici pour d'autres raisons. Car il ne pouvait ignorer son regard, son attitude, comme à la gare, elle semblait stressée, inquiète. Il avait le sentiment qu'elle avait peur.


Dernière édition par Aiden Beckfield le Lun 20 Oct - 10:56, édité 1 fois
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Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis Vide
MessageSujet: Re: Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis   Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis EmptyMer 15 Oct - 11:54


" L'homme n'est q'un enfant dans l’échelle de l'évolution. Une bête sauvage qui se croit évoluée. A force de bourrage de crane, l'humanité toute entière s'est persuadée d'être habitée par une force supérieure, alors qu'elle n'est qu'un prédateur provisoirement au sommet de la chaîne alimentaire. La prétention de la civilisation a lénifié l'impact des instincts de l'homme, que les guerres - si bassement animales - continuent d'entretenir au fond de chaque être. L'humanité dort sur un baril de poudre."

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Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant

Il y avait comme un goût amère niché au fond de sa gorge, un goût qui ressemblait vaguement à de l'amertume. La colère et la rage avaient toutes deux disparues de son cœur pour laisser place à l’échec d'une mère et à sa consternation. Elle, la grande Genesis venait de faillir à son devoir de mère et elle avait cette sale sensation de ne plus pouvoir à l'avenir réussir à se regarder dans un miroir. Si d'apparence la grande blonde sauvage ressemblait à un animal amputé, intérieurement elle avait une foudroyante envie de tout foutre en l'air. C'était comme si le cycle infernal de sa vie ne cessait de tourner en boucle à l'image d'un vieux disque usé par les années et les générations. La souffrance et la malédiction des Winston étaient apparemment indémodables. L'idée même de savoir que son petit garçon de trois ans risquait de mourir pendant qu'elle restait les bras croisés au milieu de cet hôpital lui donnait la nausée tout autant qu'elle frissonnait de crainte à l'idée de devoir affronter le regard méprisant que Rickon aurait en la toisant de toute sa hauteur. Elle aurait volontiers vendu son âme pour être chargée d'une affaire à cet instant, même la plus banale lui aurait suffi si cela pouvait l'empêcher d'être ici face à ces gens qui hurlaient de chagrin et de douleur. Genesis ne pleurait plus depuis un long moment déjà comme si son quota de larmes s'était épuisé par la force des choses sous les décombres, il en valait de même pour son hystérie et sa violence envers tout ce qui l'entourait. Oui, la jeune femme était étrangement calme et stoïque. Même sa main en charpie enroulée dans un vulgaire bandage ne la faisait plus souffrir, car la douleur n'était rien à côté de son cœur en bouillit. Son regard azur scrutait les vas-et-viens dans l'espoir que l'un de ces hommes ne vienne lui annoncer que le petit Priam était coriace et qu'il s'en remettrait et elle s'imaginait répondre fièrement d'une voix fluette que son petit garçon tenait ça de son père. Toutefois, rien ne se produisait, pas même l'arrivée en trombe de sa meilleure amie, jamais elle ne s'était sentie aussi seule au monde. Une nouvelle vague d'inquiétude secouait son corps frêle et poussiéreux, elle chassa cette idée d'un mouvement de tête et d'un geste atrocement féminin elle replaça plusieurs mèches blondes derrière son oreille.

Genesis était dotée d'une sensualité froide et cela depuis sa plus tendre enfance et cet atout lui avait été utile bien souvent lors de ses interrogatoires, elle avait appris à jouer avec le feu, à se positionner en une victime potentiel pour faire sortir la bête sombre de l'antre d'un monsieur tout le monde. Ça avait pris du temps, mais elle avait réussi à en faire l'une de ses armes. Hélas, aujourd'hui, par cette nuit d'horreur où tout semblait s'écrouler sous ses pieds, sa beauté et sa froideur ne lui étaient d'aucune utilité. La profiler colla son dos courbaturé contre le dossier de la chaise en plastique vert des urgences, elle porta son regard torturé et vide sur les quelques urgentistes qui se grillaient les poumons à l'extérieur, leurs visages respectifs étaient troublés, blessés, certainement trop touchés par l'événement. Et à chaque fois que les portes automatiques s'écartaient de façon répétés une brise glaciale s'infiltrait dans le creux de ses reins. Elle glissait sournoisement sous son t-shirt taché de sang lui procurant une multitude de sensations désagréables. Entre ses mains le petit gobelet marron était devenu aussi froid que ne l'étaient son corps et son cœur. Elle soupira, laissant tomber son lourd visage en arrière, elle était épuisée d'être ici. Avoir l'impression de stagner n'avait jamais été son truc, elle avait toujours ressentit un besoin foudroyant de s'occuper l'esprit et cela depuis la mort de ses parents. Elle se souvenait vaguement de ses nuits d'insomnie dans la grande maison bourgeoise de sa famille de substitution, sa nouvelle ''mère'' avait été charmante avec elle, mais les mots ne voulaient jamais sortir de sa bouche de petite fille et le réconfort elle allait souvent le chercher dans les bras rassurant de son oncle Jack. Oh, elle l'avait toujours aimé cet homme, du fond de son cœur, il était devenu son pilier et elle aurait aimé l'avoir à ses côtés. Lui et ses deux grandes cicatrices, stigmates d'une vie bien trop bordélique et pourtant Genesis aimait ce genre d'homme. Elle avait toujours été attiré par les chiens errants aux regards profonds et sombres. Même son meilleur ami et équipier en était un, tant d'année qu'elle ne l'avait pas vu. À cet instant, au milieu de ce couloir d'un blanc opaque, elle se rendait compte qu'elle s'était enterrée dans une solitude violente. Croire qu'elle se protégeait elle-même et son fils n'avait été qu'un mirage.


Un nouveau soupire franchissait le seuil de ses lèvres rosées et abîmées par le drame de l'explosion. Elle posa son regard sur le liquide froid et marron qui tournait en boucle à l'intérieur du gobelet. Elle était épuisée de tout cela et aurait aimé avoir le pouvoir de tout changer, de recommencer encore une fois et rectifier le tire. Hélas, la vie n'était pas si simple et l'être humain n'avait que très rarement une seconde chance. «Tout va bien ?» Cette voix rauque venait d'extraire Genesis de sa torture psychique. Elle releva son visage de poupée d'un geste incroyablement long, comme ci ce geste lui demandait des forces surhumaine. Ses prunelles azurs s'étaient posées sur la carrure imposante de l'homme qui se trouvait planté devant elle. Il avait une blessure au visage, superficiel cependant, tout du moins assez peu importante sinon il ne se trouverait pas là  planté devant elle à la dévisager comme si elle était une sorte d'animal abandonné au bord de la route. Il était incroyablement beau, imposant, un visage atypique, très typé, les cheveux corbeaux de l'homme se balançait sur ses joues transpirantes. Genesis haussa simplement les épaules d'une gestuelle qui représentait sa lassitude. « Je tuerais pour une bonne bouteille et une cigarette.» Elle avait dit ça presque en plaisantant, son regard s'était reporté sur le gobelet en plastique qu'elle tenait entre ses mains. Cet homme lui disait quelque chose, réellement, mais son esprit était trop préoccupé par l'état critique de son enfant pour qu'elle puisse réussir à remettre de l'ordre à l'intérieur de son crâne et pourtant elle releva son visage en direction de l'homme. «On se connaît ? Votre visage me dit quelque chose...» Elle avait presque une moue enfantine, comme ces gamins à l'école qui s'arrache le système nerveux en essayant de résoudre un problème mathématique. Elle plissa son petit nez mutin avant de sentir une sensation de coup de jus le long de sa colonne vertébrale. «Aiden ? » Elle avait murmuré son prénom presque en grimaçant. Bien sûr qu'elle le connaissait, il avait été son premier petit ami, une relation houleuse et violent comme elle en était abonné. À croire que Genesis était tout simplement masochiste avec le temps sa pathologie s'aggravait. « C'est moi Genesis. » Elle s'étonnait elle-même de se sentir presque vexé de n'être qu'un vague souvenir pour lui, un souvenir assez vague pour qu'il l'ait refoulé dans son inconscient. La jeune femme se leva et lui tendit sa main blessé en guise de bonjour. Il avait changé...elle pouvait le lire dans ses prunelles sombres...Oui, lui avait changé contrairement à elle. Toujours aussi lâche.
(c) crackle bones

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MessageSujet: Re: Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis   Ne pas être seul, même si c'est un inconnu, peut parfois être réconfortant - genesis EmptyLun 20 Oct - 11:44

Pourquoi avait-il été vers cette femme plutôt que vers une autre personne ! Parce qu'elle était sexy et séduisante ? Non, elle l'était c'est vrai, mais ce n'était pas la raison, car sincèrement à cet instant ce n'était pas ainsi qu'il la voyait, qu'il la regardait. Il n'était pas d'humeur à penser à ça et encore moins à draguer. Il ne pouvait nier que ce qu'il l'avait attiré était l'aspect de la demoiselle mais ce n'était nullement une question de beauté, non elle respirait la force, la confiance voire la froideur et pourtant elle lui inspirait la fragilité. Comme si elle était prête à craquer à tout moment même si elle semblait chercher à se contrôler. Comment expliquer cela, hmm, combien de fois il avait rencontré des femmes dans son genre. Elle avait tout de la femme solide, autonome et déterminée qui se force à vivre pour elle et par elle-même, qui n'est pas souvent blessée par la franchise et qui souvent répond du tact au tact sans aucun doute, ni aucune peur. Et dans presque toutes les circonstances elle est assez forte, douée et entraînée pour cacher ses faiblesses, ses peurs. Pour les garder profondément en elle, comme si le fait de les exposer la fragilisait et que mettre un voile dessus pouvait les effacer. Mais ce qu'il avait souvent remarqué chez ce genre de femmes est que lorsqu'elles sont confrontées à quelque chose d'énorme, à une situation vraiment compliquée ou trop douloureuse. Et bien elles se sentent tout de suite coupable, inutile et on bien du mal à faire avec et commette de nombreuses erreurs. Elles se renferment encore plus, souffrant de l'intérieur, se torturant, se coupant du monde au point de parfois passer inaperçu, de se fondre dans le décor, tellement elles sont silencieuses, fermées, plongées dans leur pensées. Pour au final craquer et perdre pied. A se repasser le film, à se dire qu'elle aurait pu dire cela ou faire cela, que tout aurait été différent. A chercher ce qu'elles n'avaient pas bien fait parce que dans leur tête tout est forcément de leurs fautes ou que les autres penseraient ainsi parce qu'elles même se force à porter tout le poids du monde sur leurs épaules. Oui c'est ainsi qu'il voyait cette femme, c'est ainsi qu'il la percevait, à son attitude, aux traits de son visage. Il savait au fond de lui que ces personnes quand elles craquaient et bien ça pouvait très mal tourner. Il avait la sensation qu'il devait intervenir, qu'il devait aller vers elle, peut-être était-ce aussi une façon de se sentir utile puisqu'il ne pouvait aider ses collègues.

Elle relevait la tête, posant un regard azur, perçant sur lui et c'est à cet instant qu'il fut touché par sa beauté. Ses traits étaient si fins, ses yeux étaient comme un océan dans lequel on plongeait sans avoir trop le choix, ni même le temps d'y réfléchir. Sa peau était si blanche et ses cheveux longs blonds si magnifiques, elle avait tout d'une magnifique poupée. La blondinette mit un certain temps à réagir, elle prenait le temps de le regarder comme si elle l'analysait puis dans un premier temps elle haussa les épaules, et enfin, elle lui dit qu'elle tuerait pour une bouteille et une cigarette. Bon sang ce qu'il pouvait la comprendre, à une époque lui aussi se noyait dans l'alcool quand ça n'allait pas et cette sensation était si bonne, éphémère, mais pourtant si bonne. Mais il y avait déjà bien longtemps qu'il avait réussit à se soigner, à se sevrer, alors ce n'est certainement pas lui qui irait lui chercher de quoi se saouler, surtout que ce n'était nullement le bonne endroit pour cela. Alors il se contenta de sourire légèrement et de lui répondre.

Vous allez sûrement me maudire ou me trouver bien coincé ou moraliste mais j'pense pas que ce soit la meilleure chose à faire et surtout ça ne vous apportera rien de bon et ne changera surement rien à la situation.

Aiden n'était pas le genre de gars à faire la morale, il ne voulait en aucun cas la juger ou lui dire quoi faire. Non il souhaitait simplement lui préciser que boire n'arrangerait rien. Il baissa les yeux car du coin de l'oeil il avait aperçu sa main qui tenait quelque chose, il s'agissait d'un gobelet, il semblait contenir du café. C'était certainement la meilleure chose à boire pour le moment, car ça la réchaufferait et surtout il était possible qu'elle passe un long moment dans ce fichu couloir froid et terne. Ce qu'il pouvait détester les hôpitaux. Rien n'y était accueillant que ce soit la déco ou l'odeur qui régnait. Il allait lui proposer un autre café chaud car le sien paraissait froid quand elle lui demanda s'ils se connaissaient ajoutant que son visage lui semblait familier. Il fut surpris, amusé même, c'était une tactique de drague assez mauvaise, que beaucoup d'hommes employaient mais il ne l'avait jamais entendu de la bouche d'une femme, mais surtout il savait bien que ce n'était pas de la séduction. Parce que ce n'était pas le lieu et surtout elle ne semblait pas être le genre de femme à charmer, du moins de cette façon. Il la regarda avec attention, et le doute naissait en lui à présent, il est vrai que ses yeux, cette bouche lui semblaient familier. Mais s'il ne la reconnaissait pas c'est que cela devait dater de plusieurs années. Puis elle fit une petite moue qui lui donna une toute autre apparence, à présent il n'avait plus devant lui une femme forte et séduisante, mais plutôt une gamine grimaçante, de nouveau il esquissa un sourire.

Désolé, il est vrai que votre visage me semble familier mais .... si je vous connais ça ne me reviens pas du tout.

Quand soudain elle murmura son prénom, elle venait de se souvenir, elle se rappelait son prénom. Il écarquilla les yeux et de plus en plus surpris et curieux, il cherchait dans sa mémoire où il avait bien pu connaitre cette femme. Mais rien ne lui venait quand soudain elle prononça son propre prénom.

Ge ... Genesis ...

Il se rappelait enfin d'elle, comment ne s'était-il pas souvenu d'elle. Ils avaient pourtant eu une relation plus qu'amicale. Durant un temps ils avaient partagé leur lit et leur corps c'étaient mêlés. Comment pouvait-il ne pas la reconnaître. Avait-elle tant changé ? Peut-être ... Ou bien tout simplement parce que cela datait de si longtemps, ils n'étaient que des ados qui s'amusaient et de cette époque il avait fait en sorte de ne garder que peu de souvenirs. Elle lui tendait la main pour le saluer, franchement c'était étrange par le passé ils avaient partagés tant de chose mais aujourd'hui ils se seraient simplement la mains comme s'ils venaient de faire connaissance. Mais dans un sens c'était aussi un peu le cas. Doucement il entoura sa main de la sienne et la serra avec tendresse.

Tu ... Désolé je ne t'ai pas reconnue ... enfin j'ai une terrible mémoire mais ... tu as beaucoup changé. Ca fait combien d'années ? Et qu'est-ce que tu deviens ?
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