✰ THE THINGS WE LOST (maxyne)

i’m not ready to say goddbye

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La vie lui a déjà appris que les moments de bonheur peuvent se payer au prix fort et elle en a retenu la leçon. Depuis six ans l'existence est à nouveau douce, mais elle sait que cela peut s'arrêter n’importe quand. Le problème avec le bonheur c'est qu'on s'y habitue vite.~ tumblr.

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La détonation l’avait surprise, tout était fini, ils avaient arrêté tout le monde alors personne ne c’était attendu à cela. Elle avait vécut la scène au ralentit voyant le visage de Janice peu à peu se transformer avant de finalement comprendre qu’elle criait son nom. Ses jambes furent les premières à la lâcher avant qu’elle ne finisse par sentir la douleur l’assaillir de toute part, elle n’arrive pas à définir d’ou exactement elle vient quand ses genoux touche le sol. On la serre, on crit des choses et puis elle sait que bientôt elle ne verra plus rien, alors elle sait ce qu’elle doit faire car jusqu’à présent elle l’a gardé pour elle ne voulant pas ce porter malheur en commençant à le dire à qui voulait bien l’entendre « Enceinte » chuchote t’elle avant que le noir l’enveloppe et qu’elle ne perde entièrement connaissance. Elle ne sait combien de temps cela a duré, mais quand elle reprend possession de son corps elle ne le sent presque plus, clouée elle n’arrive pas à bouger ou bien à ouvrir les yeux, sentant comme un poids la tenant en place. Cependant elle sent une pression différente, plus douce et délicate sur sa main et il ne lui faut pas bien longtemps pour comprendre de qui il s’agit. Elle a mal, elle a soif et elle doit ouvrir les yeux maintenant. Quand elle arrive finalement à ouvrir ses derniers la première chose qu’elle voit c’est une tête blonde posée près d’elle, elle tente de parler mais n’y arrive pas tout de suite sentant une gêne dans sa gorge, causée par l’opération qu’elle a subit. Rassemblant le plus de force possible elle tente de bouger sa main, et a peine a t-elle bougé un doigt qu’il se relève automatiquement la fixant finalement ce demandant surement si il s’agit d’un rêve, ou si elle est bel et bien réveillée en face de lui. « Oh mon dieu Max » finit-il par murmurer en s’approchant d’elle pour embrasser son front. Ce contact la fait frémir elle respire un peu plus fort en même temps qu’il ce sépare d’elle, il à les yeux rougit par les larmes et il porte toujours sa tenue de pompier, elle ne sait pas depuis combien de temps elle est là, ce qui c’est réellement passé, elle essaye de parler mais les sons restent coincés dans sa gorge. « Le médecin a dit que tu aurais du mal, tient bois ça » il lui tend un verre et l’aide a attraper la paille qui lui amènera de l’eau, et si la première gorgée lui fait très mal cela devient plus supportable par la suite. Elle boit un peu plus, consciente que cela lui fait vraiment du bien. Quand elle ferme doucement les yeux il comprend qu’elle en à assez et prend donc le verre avant de le poser a côté de lui. Elle le regarde toujours, il n’est pas bien elle le voit clairement tandis qu’il la regarde comme si il avait faillit la perdre, comme si elle était la plus belle chose au monde. Elle à besoin qu’il la prenne dans ses bras, elle sent qu’il à peur de lui faire mal mais à vrai dire elle à eu si peur de ne plus jamais le revoir qu’elle à vraiment besoin de lui, là maintenant. Elle tente de parler, n’y arrive pas mais finalement un mot arrive à sortir de sa bouche avec beaucoup de difficulté « Vient » elle ne sait pas si il l’a entendu, elle même n’a pas entendu le son de sa propre voix. Mais après un instant de réflexion, il enlève finalement sa veste et la dépose sur le dossier de la chaise avant de se retrouver en t-shirt et prendre place à ses côtés, attrapant doucement sa tête et la déposant sur son torse. Cette place ou elle ce sent si bien, il la serre contre lui avec un délicatesse infime et embrasse à nouveau le haut de son front, avant de déposer délicatement ses lèvres contre celles de la jeune femme « Je t’aime. » chuchote t-il dans son oreille. Et à ses mots, Maxyne sent une larme couler le long de sa propre joue elle l’aime aussi. Bien entendu elle le savait avant, à vrai dire cela lui semblait merveilleux qu’un homme comme lui puisse l’aimer, vouloir faire sa vie avec elle, elle le savait elle était la plus chanceuse. Elle voulu lui parler mais s’en sentit incapable aussi finissa t-elle pas s’endormir dans ses bras. Quand elle ouvrit à nouveau les yeux elle sentit qu’elle pouvait bouger, elle ce sentit mieux mais sentit aussi qu’il n’était plus là. Elle vit Wes à sa place, ce dernier soupira de soulagement en la voyant ouvrir les yeux à nouveau, il lui fit un immense sourire avant de finalement déclaré « Ne lui fait plus jamais ça, il pourrait ne pas y survivre. » elle comprit qu’il parlait de Roman, mais comprit qu’il parlait aussi de lui. Il attrapa sa main, ne perdant pas ce sourire. « Promis » répond t-elle finalement. Il s’apprête à lui dire quelque chose d’autre quand la porte s’ouvre sur Roman, et un médecin. Le jeune homme vient automatiquement prendre place à côté de Maxyne en souriant, et ensemble ils regardent le médecin qui se tient aux pieds de son lit « Mademoiselle Oakley, vous avez été touchée par balle à l’abdomen il y’a trois jours. » elle comprend doucement ce qu’il est en train de dire, elle a dormit pendant trois jours, elle a été touchée à l’abdomen … L’abdomen. Elle le regarde paniquer, sent la main de Roman serrer la sienne et la panique commence à prendre le dessus sur toutes ses autres émotions. « Nous avons été capable de retirer les balles, seulement vous aviez perdu beaucoup de sang dans l’ambulance qui vous a ammenée. Aussi nous avons du faire face à quelques complications, et nous avons du prendre une décision. » Il semble en train de choisir ses mots tandis qu’elle a déjà compris ce qu’il allait dire, elle sent dans son cœur un immense vide ce créer, elle porte automatiquement son bras bien que douloureux sur son ventre tandis que des larmes sont déjà en train de couler le long de ses joues sans qu’elle ne les sente. . « Nous n’avons pu sauver qu’un seul d’entre vous, je suis désolé. » tandis que son cœur se brise tandis qu’elle comprend ce qui est en train de ce passer, elle sent la main de Roman commencer à lâcher la sienne, ne prend pas vraiment en compte Wes qui est en train de comprendre que sa sœur était enceinte. Elle porte les deux mains à son ventre avec grande difficulté et pousse un cri que jamais personne ne devrait entendre, le cri d’une mère à qui l’on vient d’annoncer que son enfant n’est plus.

you took my soul, take my body

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Tout comme il y a deux versions à chaque histoire, il y a deux versions à chaque personne. Une version que nous révélons au monde et l'autre que nous gardons cachée ... ! Une dualité gouvernée par l'équilibre de la lumière et de l'obscurité. Chacun de nous a la capacité à accomplir le bien et le mal Mais ceux qui sont capables de brouiller la ligne de division morale détiennent le vrai pouvoir ~ tumblr.

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Elle balance son arme sur le bureau, ses cheveux sont trempées elle à des coupures sur le visage et les mains bien amochées mais cela l’importe peu « Dit moi Oakley ton but serait-il d’éradiquer New York de tout les méchants en un mois ? » Declan rit à son intervention, il dépose ses propres armes avec plus de délicatesse sur son bureau. Si lui aussi est trempée il est moins amoché qu’elle, pour la simple et bonne raison qu’il a attrapé la fille celle qui était le cerveau de l’opération tandis qu’elle courait après le jeune idiot qui c’était mis en tête qu’il pourrait faire exploser une bombe dans un centre commercial, et qu’elle le laisserait faire qui plus est. Voilà plus d’un an déjà qu’elle est arrivée à New York, dans cet endroit ou elle ne connaît personne mais cela lui va bien, de cette façon elle sait qu’elle ne pourra s’attacher à rien ni à personne, qu’elle ne souffrira pas. Le bureau est vide, elle a voulu rentrer pour taper le rapport, et elle sait très bien pourquoi il l’a suivit, le faire au bureau ça l’a toujours excité alors qu’elle lui à toujours dit que ça ne ce ferait pas. Elle enlève son t-shirt trempée avant d’attraper un propre dans son tiroir. Elle sait qu’il ce rince l’œil mais elle s’en fiche. Elle finit par s’installer à son bureau tandis qu’il reste statique « Tu vas me regarder bosser ou tu vas vérifier le rapport balistique ? » il sourit d’un sourire qu’il doit penser charmeur et s’installe à son propre bureau tandis qu’elle s’attéle au rapport. C’est devenu un automatisme chez elle maintenant, elle en fait tellement ses derniers temps qu’elle ne réfléchit plus vraiment en les faisant. Le chef l’a plus d’une fois féliciter, lui à plus ‘une fois répété que si il pouvait avoir plus de membres comme elle, tout roulerait comme sur des roulettes. Le fait est qu’ici tout ses collègues ont des attaches, des familles qui les attendent, une vie, une vraie. Elle en avait une aussi mais ne possédant plus vraiment de cœur cela ne compte pas, cela ne compte plus. « Ca ne te dirais pas qu’on le dise aux autres un peu ? » Absorbée dans son dossier elle ne l’entend que la seconde fois et relève les yeux vers lui « Pardon ? » Le fait est qu’elle a toujours été très claire avec lui, il n’y aurait rien d’autres entre eux, rien de plus que ce qu’ils n’avaient déjà. Il était son moyen de décompresser, et il n’y avait rien d’autre à chercher. « Je t’en pris ça fait plusieurs mois qu’on fait ça, ne me dis pas que ce n’est que du cul pour toi ! T’es une fille ! » La réflexion la fait d’abord rire, et puis plus rien. Comme souvent elle s’éteint, elle est emportée dans un autre monde, elle repense à ses yeux bleus qui l’ont plus d’une fois ramené dans ce monde qu’elle a quitté. Elle ne dit rien pendant un instant et puis éteint son ordinateur prête à partir « Je suis une femme Declan, et tu n’es rien d’autre pour moi qu’un coéquipier que ce soit au travail ou dans la vie perso. » il la regarde incrédule, avant qu’elle n’attrape sa veste et son sac prête à rentrer chez elle. Ce chez elle est nu de décoration, un appartement standard qui malgré le temps qu’elle a passé dedans ne lui ressemble pas, est impersonnel mais cela lui va comme ça. Sans photos, sans souvenirs particuliers cela l’aide à garder la tête haute, de ne pas sombrer de ne pas redevenir celle qu’elle était avant. Elle ne voulait plus penser aux heures passées dans sa chambre à pleurer, à s’en vouloir, à en vouloir au monde entier … Elle balance ses clefs sur le bar, attrape une bière et s’installe dans le canapé, le regard dans le vide. Elle le sait elle n’est pas capable de laisser qui que ce soit entrer dans sa vie, c’est une évidence car elle sait qu’il y’a bien trop à perdre. Elle n’est plus la même, et si elle racontait qui elle était avant on ne le croirait pas ici. A vrai dire, elle ne veux même pas penser à celle qu’elle était, à ce qui à bien pu ce passer. Un instant son téléphone sonne, elle répond à la hâte persuadée qu’on l’appelle pour un corps retrouvé, une enquête. « Max … » cette voix elle la connaît. Elle n’arrive plus a respirer le temps d’un instant tandis qu’elle l’entend respirer de l’autre côté. « Revient. » elle lui a envoyé des mails pour lui dire qu’elle allait bien, sans ne jamais lui dire ou elle était, si elle l’avait fait il aurait tout quitté pour être avec elle et elle ne voulait pas qu’il fasse ça. L’entendre lui fit un effet auquel elle ne s’attendait pas, elle pensait être assez forte pour lui parler mais elle en était incapable, elle ne savait pas comment il avait fait pour trouver son numéro de téléphone après toute les dispositions qu’elle avait pris pour qu’il en soit incapable. « Je suis désolée Wes ... » Pour la première fois depuis longtemps elle passa sa nuit à pleurer. Elle tenta de ne plus repenser à cet appel, elle tenta de reprendre la vie qu’elle avait ici tentant de ce persuader que c’était la vie qu’elle voulait. « Oakley qu’est ce que vous foutez ? » son oreillette grésille à nouveau tandis qu’elle court dans les rues de New York, poussant tout le monde sur son passage. Ce type là ne s’en sortira pas comme ça « Je ne le laisserait pas fuir chef ! » non elle ne le ferait pas, le type qui lui avait tiré dessus était dans la nature et c’était suffisant, elle ne laisserait personne d’autre de libre. Plus jamais. Il tourne, et elle sait parfaitement  qu’ellle pourra l’attraper, quand il arrive elle lui donne un coup de crosse dans la tête ce qui le fait s’affaler sous son poids au sol, ce jetant sur lui elle point son arme entre ses deux yeux « On fait moins le malin hein ? Tu regrette d’avoir tiré sur cette innocente ? » elle lui plante le canon de l’arme, si bien qu’elle voit sa peau plissé autour. Elle est prête à tirer, ce type a tué cette jeune femme qui n’avait rien demandé, qui allait chercher ses enfants … « Lachez ça Oakley !! » Pratt est là, le reste de l’équipe aussi mais elle n’arrive pas à enlever son arme, même si elle le voulait très fort elle n’y arriverait pas. « MAXYNE! » on la pousse, on lui retire son arme de ses mains on la pousse, la mobilise. Et elle les regarde embarquer ce type, cet assassin.

all i want it, all i need it, find somebody

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On peut donner bien des choses à ceux que l'on aime. Des paroles, un repos, du plaisir. Tu m'as donné le plus précieux de tout : le manque. Il m'était impossible de me passer de toi, même quand je te voyais, tu me manquais encore. ~ tumblr.

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Marcher dans ses rues lui à fait bizarre la première fois, quand elle est sortie de l’avion et qu’elle a revu son frère elle a sentit qu’elle n’allait pas tenir, qu’elle allait défaillir. Il l’avait serrée si fort dans ses bras qu’elle c’était dit qu’il allait l’étouffer mais retrouver son étreinte valait bien ça. Elle n’avait pas prévu de revenir pour la simple et bonne raison que cette ville lui rappelait trop de chose, si elle y avait perdu ses parents dans un incendie elle y avait aussi perdu son enfant, et cela faisait plus mal qu’elle ne voulait le laisser croire. Elle était partit en étant une femme brisée, elle ne pensait pas pouvoir un jour remonter la pente et pourtant elle l’avait fait. Bien sûr elle avait construit une image d’elle, une image qui l’apaisait. Elle avait regardé les paysages ce succéder par la fenêtre souriant faiblement, car cela lui faisait peut être du mal, mais être de retour à la maison c’était quelque chose aussi. Elle avait repris sa vie doucement, vivant d’abord chez son frère avant de trouver son propre appartement, elle faisait attention à où elle allait, évitant soigneusement certains endroits ou elle savait que la souffrance serait plus grande. Remarcher dans les couloirs du bureau a été quelque chose, on l’a accueillit à bras ouverts, on lui a dit qu’elle avait manqué, on l’a assigné à une nouvelle coéquipière Janice ayant quitté la ville peu de temps après elle. Bref, tout aurait presque pu revenir à la normale, comme avant. Sauf que rien ne l’était, elle était la pour une raison, elle savait qu’on avait a nouveau repéré la trace de l’homme qui avait tué son enfant, et elle le trouverait. C’était une promesse qu’elle c’était faîte quand son frère lui avait donné l’information quand elle avait quitté les bureaux de New York. Elle repris une certaine routine, recommença a courir le matin mais plus dans le même parc, elle ne retourna plus dans les cafés et les bars qu’elle avait l’habitude de fréquenter, ne retourna pas dans certains quartiers et eu parfois à y retourner sans pour autant vouloir s’y attarder. Et puis une filature, un incendie basique et semblant normal jusqu’à ce qu’on les appelle pour voir entendu des coups de feu dans un quartier peu recommandable de la ville. Ils sont arrivés là avant les pompiers armes a la main, ils ont attendus ses derniers mais impatiente elle est entrée dans l’immeuble. C’était quelque chose qu’elle ne faisait pas avant, être inconsciente à ce point, mais ca avait changé, elle ne pouvait laisser des gens à l’intérieur de cet immeuble qui était en train de prendre feu, apeuré par le feu et des hommes armés. Elle n’eu même pas à monter un étage, qu’elle le découvrit là. Surement un dealer venu chercher ce qui lui était du, tenant en joue une petite fille dont la mère gisait déjà au sol surement évanouie a cause de la fumée. Elle vit rapidement les larmes de la petite fille tandis que le tireur répétait que son frère n’aurait jamais du fuir, que c’était elles maintenant qui allait le payer, que c’était elles qui allaient souffrir. Elle pointa son arme dans son dos avant de lui déclarer qu’elle faisait partit de la police, lui demandant d’abord gentiment de rendre son arme et ce malgré la rage qui lui emprisonner maintenant les tripes. « Tu crois que tu me fais peur poulette ? Si tu tire, je la tue. » la petite fille pleure de plus belle, elle entends les sirènes et ne réfléchit pas plus longtemps avant de détacher son arme et de la lui donner « Je croyais que vous étiez tous cons dans la police, il faut croire que toi non. Allez met toi avec elle, bouge ! » déclare t-il en prenant son arme et la menaçant avec. Elle bouge doucement vers la petite fille, elle vérifie rapidement le pouls de la mère qui respire encore et prend la petite fille contre elle. On entend du bruit au dessous et l’homme commence a s’agiter cherchant à savoir ce qu’il ce passe. Il devrait pourtant ce douter que les pompiers arrivent, le feu descend des étages du dessus … « Si tu te rends, les peines seront moins lourde. Tu n’a tué personne, ne fait pas n’importe quoi … » elle ne ce souvient pas de la dernière fois ou elle a parlementé avec un homme tenant une arme, ses derniers mois elle à toujours donné des coups, a toujours tout fait dans la violence. La petite fille cri de plus belle tandis que son oreillette grésille elle entend la voix de Nikki « Le lieutenant Oakley est là haut. » elle respire doucement, tentant de calmer la petite fille. L’homme en face d’elle ne semble pas avoir plus de 20 ans, il tremble de peur et la braquant toujours. Elle déplace la jeune enfant derrière elle, en lui demandant de ce calmer tandis que des goutes de sueur perlent sur le front du jeune homme « Pompiers répondez ! » cet appel le perturbe, et tandis qu’il tourne le regard pour voir d’ou cela vient Maxyne lui assène un coup de pied lui faisant perdre l’équilibre et lâcher ses armes. Il tente de lui donner un coup de poing au visage qu’elle esquive avant qu’il ne lui en donne un dans l’estomac lui coupant le souffle une seconde. Il profite de ce moment pour prendre la fuite, elle à le temps de le voir arrêter par un des pompiers avant de ce plier en deux pour reprendre sa respiration, la petite fille est prise en charge, la mère aussi et elle sent une main dans son épaule, « Maxyne ça va ? » elle à inspirer beaucoup trop de fumée, elle le sait et le coup lui a été fatal. Elle relève les yeux pour en croiser d’autres qu’elle ne connaît que trop bien au travers d’un masque. Et c’est ce moment là qu’elle choisit pour perdre connaissance. Elle ouvre les yeux à nouveau lorsqu’elle ce retrouve dans la rue, les paramédics lui prennent le pouls et lui affirme que tout vas bien après lui avoir enlevé le masque a oxygène. Lorsqu’elle ce relève, elle le voit là devant elle le regard partagé entre la colère et l’inquiétude, il regarde sa collègue qui lui indique que Maxyne va bien, et cette dernière ce lève un peu trop rapidement peut être car elle perd l’équilibre, il pose sa main sur le bras de la jeune femme qui le retire vivement. Il inspire probablement en colère « Depuis quand tu est là ? » il était celui qu’elle évitait, qu’elle ne voulait pas voir, parce que la douleur qu’elle sentait à présent dans son cœur lui faisait bien trop mal. Elle veux lui répondre, mais quelqu’un se précipite sur elle pour la prendre dans ses bras, d’abord surprise elle relâche un instant la pression. « Je vais bien, ne t’en fais pas tout va bien. » déclare t-elle à son meilleur ami qui finit par la lâcher, lorsqu’elle cherche Roman elle le voit partir de l’autre côté.