eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures
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Sujet: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:11
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Eileen Jeremiah Nolands
antd it's like it feels like as if somebody was gripping my throat and squeezing
NOM(S) ✮ Nolands PRENOM(S) ✮ Eileen Jeremiah DATE DE NAISSANCE ✮ 05/05. LIEU DE NAISSANCE ✮ Chatham. STATUT CIVIL ✮ c'est compliqué, oui comme le statut facebook. ETUDES/METIER ✮ Assistante dans un cabinet d'avocats. TRAITS DE CARACTÈRE ✮ calme - altruiste - généreuse - heureuse - fiable - fragile - déterminée - naïve GROUPE ✮ almost golden.
Now is always temporary
VOTRE AVIS SUR LA VILLE DE WASHINGTON ✮ Je l'aime beaucoup c'est une ville sympathique et agréable dans laquelle j'ai aimé grandir. C'est malheureusement aussi celle qui a vu mourir ma mère. Donc paradoxalement je l'aime autant que je la hais. VOTRE MEILLEUR ET VOTRE PIRE SOUVENIR ✮ Mon meilleur souvenir restera cette journée à la fête foraine avec Evan. C'était encore à Chatham, mais c'était tellement bien. On a passé la journée à se bourrer de chichis ou de barbe-à-papa. On a dévoré des pommes d'amour. On a rigolé, on a hurlé de peur aussi dans les montagnes russes. Mais c'était tellement drôle. On est rentrés épuisés chez moi et on s'est couchés dans le même lit comme toujours. On ne s'est pas endormis tout de suite, on a discuté jusqu'au bout de la nuit. C'était sacrément bien, l'insouciance. Mon pire souvenir c'est même pas le moment ou j'ai quitté Ryan, mais le moment ou ma lettre est restée sans réponse. J'y avais mis tout mon coeur. Je m'étais appliquée, j'avais livré des choses personnelles que même Evan ne sait pas ... JUSQU'OU SERIEZ VOUS PRÊT A ALLER POUR SAUVER UNE VIE ✮ Ca dépend la vie de qui. Sinon ... jusqu'au bout sans hésiter. AVEZ VOUS DÉJÀ ÉTÉ IMPLIQUE DANS UNE HISTOIRE AVEC LA POLICE ✮ Non je suis une citoyenne normale et des plus banale, du bon côté de la loi. LA PIRE CHOSE QUE POURRAIT FAIRE OU ETRE VOTRE VOISIN ✮ je m'en fiche un peu des voisins pour tout vous dire. Donc je dirai peut être le basique : trop bruyant, bordélique. 20 CHOSES A SAVOIR SUR VOUS ✮ Eileen n'est pas mariée ou fiancée mais elle porte l'alliance de sa mère décédée ce qui peut porter à confusion ✮ Eileen n'est pas quelqu'un de romantique, c'est pas qu'elle ne croit pas à l'amour mais elle sait juste que c'est pas pour elle, elle a perdu l'homme de sa vie et ses parents se séparer, elle n'ose plus aimer tout simplement ✮ Depuis quelques mois elle a des relations intimes avec son meilleur ami depuis toujours : Evan Fisher, mais elle et lui savent très bien qu'il n'y a rien de sérieux, ils s'aiment mais sans ambiguïté ✮ Depuis sa rupture avec Ryan elle ne s'est jamais réellement remise et a beaucoup de problème avec la drogue et tout ce qui y touche, pour y remédier elle est volontaire quelques soirs par semaine aux addicts anonyme se disant que si elle l'avait aidé peut être que tout aurait été différent ✮ Elle a arrêté les études au lycée pour prendre soin de sa mère qui a été diagnostiquée d'un cancer, elle n'a donc aucun réel diplôme ✮ Si elle n'a jamais terminé ses études, elle est pourtant très capable, c'était la major de ses promos, elle était très studieuse et bonne élève ✮ Elle n'était pourtant pas le cliché de l'intello de service, elle était même plutôt populaire et très courtisée ✮ Elle a un vrai sens de la famille que son père et sa mère lui ont inculqués depuis sa plus tendre enfance ✮ Elle est très proche de sa soeur ainée, Kloé avec qui elle vit à présent en colocation ✮ Elle a très mal vécu la disparition de sa mère et la dépression nerveuse de son père qui s'en est suivie ✮ Elle adore la couleur rouge et a toujours au moins un élément de rouge sur elle, que ça soit des chaussettes ou un T-Shirt ✮ Elle a une peur panique des espaces vides et elle est très maniaque, il faut que tout soit bien rangé à sa place ✮ Depuis qu'elle travaille dans un cabinet d'avocat grâce à Evan qui l'a fait embaucher comme assistante, elle aimerait bien peut être reprendre des études et devenir avocate, mais ça serait long ✮ Elle aime prendre soin d'elle, sans forcément passer des heures devant le miroir le matin, elle n'aime pas être habillée n'importe comment hormis les dimanches ✮ Elle adore se faire des marathon dvd et c'est une grande cinéphile ✮ Elle a gardé une photo de Ryan et elle dans son porte monnaie ✮ Elle a beau tout raconter à Evan elle ne lui a jamais parlé de Ryan ou ce qui s'est passé entre eux deux ✮ Son idole est Clint Eastwood ✮ Elle rêve d'avoir un Husky ✮ Elle adore la lecture et pourrait se perdre dans une librairie, une fois elle a été enfermée dans une bibliothèque parce qu'elle lisait dans un coin sombre ✮ Elle est allergique à la fraise.
Partners in crimes
PRENOM/PSEUDO ✮ kusumitagraph' COMMENT TU ES ARRIVE(E) ICI? ✮ je ne répondrais qu'en la présence de mon avocat (et d'un cuiller pour le manger). CONNEXION ✮ le plus possible. TON DERNIER MOT ✮ mot.
✮
Dernière édition par Eileen J. Nolands le Lun 23 Juin - 19:13, édité 6 fois
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:23
The only easy day was yesterday
Il y a des histoires que l’on connaît par cœur, il y a des histoires qui font pleurer, qui font rire, il y a des histoires merveilleuses et que l’on peut se permettre de raconter des millions de fois. Mais je doute que ma vie fasse partie de ça. Non je ne suis pas née dans un royaume magique mon père étant un roi généreux, non je n’ai pas eu un vilain sort par une vilaine sorcière et je ne me suis pas fait sauver par le prince sur son cheval blanc qui m’a emmenée loin dans notre royaume dans le soleil levant.
Mon prince est parti. Mon père a fait un dépression nerveuse. Et la princesse que je suis (oui pas) se tape son meilleur ami dès qu’elle ou il se sent seul. Je doute que ça fasse un très bon scénario pour la maison Disney.
Chapitre Un : and as these days watch over us tonight
« La famille est une chose importante les filles » allongée sur le canapé, je regardais mon père avec de grands yeux. Je buvais toutes ses paroles. C’était normal après tout il était mon père. Je soupirait doucement en tournant les yeux vers ma sœur qui coté de moi écoutait tout autant le discours de mon père. « Je sais bien qu’on ne voit pas souvent la famille de maman mais c’est pas pour autant qu’ils ne comptent pas pour nous, d’accord !? » je souriais à mon père avant de reposer mon attention sur mon aînée, elle aussi à plat ventre à côté de moi. Doucement je passais une mèche de ses cheveux derrière son oreille pour lui dégager le visage. « Tu m’écoutes Eileen ? » demanda mon père doucement sachant très bien qu’il m’avait pris à rêvasser. « Oui … » murmurais-je en rosissant doucement. C’est le moment qu’il choisir pour me saisir par le pied et me tirer sans douleur près de lui pour une attaque surprise de chatouilles. Je me mis à rire sans pouvoir m’arrêter et quand je pensais que j’aurai le soutien de Kloé, au contraire non cette dernière aidait mon père. « Tiens la bien papa, j’arrive en renfort ». C’est suffocante que j’essayais de me tortiller afin de me défaire de son étreinte mais surtout de leur torture. Je me débattais comme un beau diable, et heureusement pour moi ce qui me sauva fut l’entrée de ma mère dans le salon avec le plat de pâtes de ce soir. « A table les filous » avait-elle dit avec un grand sourire. Papa et Kloé me lâchèrent sans se faire prier pour aller à table le plus rapidement possible. « Merci Maman » soufflais-je doucement. « Tu m’as sauvée » murmurais-je au creux de son oreille avant de déposer un baiser sucré sur sa joue pâle. […] le dessert n’était pas bien gros ce soir, et c’était pas pour nous déranger. On n’étais pas habituées aux plats de luxe, on n’était pas habituées à manger comme pour dix et avec Kloé on ne s’en est jamais plaintes. Pourquoi faire. On avait deux parents qui nous aimaient et nous chérissaient du plus profond de leur âme. Que demander de plus ? « Bonne nuit papa, bonne nuit maman ! » « Bonne nuit maman, bonne nuit papa ! » chantions nous de concert avant de monter nous coucher.
Chapitre Deux : we were the kids from yesterday
J’ai rencontré Evan je sais même plus vraiment à quel âge. Mais tout de suite ça a bien collé entre nous. En fait si je m’en souviens pas c’est probablement parce que j’ai l’impression de l’avoir toujours connu. Ca m’aurait même pas étonné qu’on ait été ensemble sous la forme de fœtus tellement on se comprend au demi-mot. « Papa je vais voir Evan ! » annonçais-je sans détour très régulièrement dans le foyer Nolands qui n’avait que trop l’habitude de me voir disparaître chez mon meilleur ami. « très bien. Mais ne rentre pas trop tard, il y a école demain » disait mon père sur le pas de la porte alors que ma mère arrivait derrière lui pour ajouter « Et si jamais tu y restes trop longtemps tu diras à Madame Fisher qu’Evan peut venir passer le week-end à la maison » un grand sourire naissait sur mes lèvres et je courais à l’autre bout de la route pour aller retrouver le Evan en question. « Ma mère dit que si on passe trop de temps ensemble ce soir tu pourra rester dormir à la maison ce week end ! » un sourire complice naquit sur nos deux visages alors qu’on se demandait déjà ce qu’on allait bien pouvoir faire. Mais on trouvait toujours quelque chose à faire pour s’occuper. Le privilège de la jeunesse et de l’insouciance. […] J’ai grandi avec Evan si on peut dire ainsi, chez lui ou chez moi, j’ai connu sa famille il a connu la mienne, c’était comme si on était une grande famille en définitive. Et je me souvenais de ces paroles de mon père « La famille est une chose très importante » murmurais-je doucement pour moi-même en posant ma tête contre l’épaule d’Evan.
Chapitre Trois : I got a bulletproof heart, you got a hollow point smile
« Tu crois que ça va se passer comment, on les a jamais vu ? » ma main inquiète avait trouvé celle de Kloé alors qu’elle me souriait avec bienveillance comme toujours. « Très bien y’a pas de raison de s’en faire ma chérie tu sais. Tu te souviens de ce que papa dit !? » on n’avait jamais mis un pied en Europe et je ne connaissais personne. Ils étaient tous de noir vêtus, et avec Kloé on avait noué un ruban noir dans nos cheveux blonds. Elle avait gardé sa main dans la mienne. Les bancs de l’église n’étaient pas très confortables, mais selon ma mère « il ne faut pas s’y sentir trop à l’aise, sinon on oublie qu’il faut mériter d’être croyant ». Moi je croyais en rien du tout. J’observais c’était tout ce que je faisais. J’observais les larmes qui coulaient sur les joues de mes cousines. Les yeux rougis de ma mère, la mine triste de mon père. « La famille c’est ce qu’il y a de plus important … » soufflais-je à Kloé en m’asseyant à côté d’elle alors que ma mère faisait un discours sur sa défunte mère. […] j’avais choisi de rester en retrait. Ils pleuraient une femme que je n’avais jamais connue. En neuf ans de ma vie, pas une seule fois elle n’était venue. Mais il paraît qu’elle avait une maladie grave. Et sur le coup j’ai été jalouse. Jalouse de ces cousines, de ces cousins qui peuvent pleurer. Qui peuvent être réels. A qui Gwladys peut réellement manquer. J’avais été parfaite, une poupée silencieuse et sage surtout. Pleurant ou essayant de le faire, cette femme qui était ma grand mère et que je n’avais jamais eu l’occasion de connaître.
Chapitre Quatre: we got innocence for days
Les temps étaient assez durs et je devais composer avec le fait que j’étais accrochée à Evan. Tout le monde s’amusait à dire qu’on était amoureux mais lui et moi on savait très bien ce qu’il y avait entre nous. Il n’y avait aucune réelle attirance amoureuse. Aucune espèce d’alchimie spéciale que j’ai lue dans les livres. Parce que lui et moi savions qu’il n’y avait pas d’amour amoureux entre nous. Il n’y avait qu’un profond amour fraternel, fusionnel parfois même. « Tu es le frère que j’ai jamais eu Evan ! » lui avais-je très souvent dit. Et pourtant lui savait ce que c’était d’être frère. Et plutôt un bon. Au collège on passait tout notre temps ensemble. Même si les bruits couraient sur l’entreprise de mon père, j’étais trop jeune et naïve pour le comprendre pour l’entendre aussi. Je préférais jouer à chat avec Evan ou réviser mes cours. La lecture, l’écriture et Evan voilà ce à quoi j’occupais mon temps. « Bientôt ça sera comme si on n’avait que Kléo comme fille » ronchonnait mon père amusé. Je savais bien qu’il ne s’en formalisait pas réellement. Kléo elle par contre ne prenait pas les choses de la même manière. Peut être parce qu’elle était plus âgée et qu’elle comprenait plus de chose que moi. Peut être parce qu’elle était plus terre-à-terre que moi aussi. « Tu devrais peut être passer plus de temps à la maison, tu sais papa et maman ont besoin de nous » mais comme je vous le disais, je ne le comprenais pas réellement à l’époque. […] Pourtant les choses changeaient, mais moi je ne voyais que la bonne humeur de maman, les cadeaux d’amoureux transit de mon père pour sa moitié. Je ne voyais que l’amour dont la famille Norlands transpirait. … je ne voyais qu’un côté de la pièce … que la face visible de l’iceberg.
Chapitre Cinq: sing for everyone you left behind
« Shhhh, Arrête Eileen ! » me houslilla ma sœur, j’étais une jeune adolescente assez imprévisible sans compter qu’on entrait dans l’âge bête et qu’avec Evan on s’était donné le défi d’embrasser le plus de personne au collège cette semaine. Des jeux futiles et probablement inutiles, mais … il n’était pas question de rigoler ce soir. L’air grave de Kloé et puis les mines très sérieuses de papa et maman en entrant dans le salon. Devant l’habituel plat de pâtes des Nolands, je les regardais tour-à-tour me demandant qui allait cracher le morceau. « J’ai eu une bonne note aujourd’hui, c’était en histoire de la ma- » « On déménage pour Washington dans deux semaines » j’étais tellement abasourdie que j’en laissais tomber ma fourchette dans mon assiette envoyant quelques coquillettes de l’autre côté de la table. « hein !? » je les regardais tous les deux. Puis Kloé. Elle hochait sentencieusement de la tête. Ils avaient tous l’air assez résignés. « Vous pouvez pas me faire ça ? » je soupirais doucement « S’il vous plait … » dis-je en les regardant de manière implorante. Mais rien. « Ma chérie … » mon père prit mes mains comme si j’étais encore une gamine, mais je dois avouer que ça me détentit immédiatement. « Tu sais très bien qu’on aime cet endroit. On y a notre vie, nos amis … » « Et y’a Evan » « Oui et il y a Evan. Mais le patron de papa a quitté la boite. Et le nouveau patron a décidé de se débarrasser des employés qui sont jugés « trop vieux ». La seule chose que l’on peut faire c’est déménager, parce qu’à Washington ils ont encore besoin de gens avec les compétences de papa » je fronçais les sourcils, à mes yeux mon père avait toujours été ce héros que personne ne pouvait battre. Et son patron sur le moment j’avais vraiment envie de me le farcir. […] c’était inévitable. « J’ai pas le choix tu sais … sinon je serai restée ici … » ça me plaisait pas vraiment de laisser Evan tout seul. Enfin si on pouvait vraiment laisser l’aîné d’une fratrie de six enfants seul. J’avais pas aimé la tête qu’il avait fait. Parce qu’il avait boudé c’était normal. Mais il savait aussi que j’avais pas la possibilité de faire autrement. « je te promet de t’écrire tous les jours. Je te promets que tu sauras tout. Tu vas me manquer Evan … » murmurais-je doucement avant de déposer mes lèvres sur sa joue. « Et t’inquiètes pas, même à distance c’est toujours moi qui embrasserai le plus de personnes. » dis-je avec un sourire espiègle.
Chapitre Six: well if you wanted honesty that's all you had to say
Il m’a fallu du temps avant de me faire à la vie de Washington. C’est bien plus vivant et rapide que chez moi. Et pourtant dans un sens ça m’a fait du bien, j’avais besoin de me changer les idées et cette nouvelle ville, ces nouvelles choses à découvrir et apprendre étaient parfaitement posées pour me distraire. Son absence se faisait sentir et je ne mentis pas, une lettre par jour. Et même deux les dimanches. De la lecture, oui il en a eu. Je suis entrée au lycée. C’est un endroit tout à fait différent, mais surtout un endroit ou on fait des choix, et moi j’adorais les études. Papa avait de la chance, il semblerait qu’il ait réussi à avoir une promotion dans sa boite. « Comme quoi vous voyez les filles, le déménagement à eu du bon » avait il dit en nous prenant toutes les trois dans les bras. « Tu as toujours raison papa. » […] j’avais beau être une des filles les plus populaires du lycée, j’en étais pas moins une fille à papa. Je n’étais pas comme les poufs qui se moquent des autres et ne font que parler mode. J’étais populaire, mais pas dans le sens cheerleader. Au contraire même j’ai aucune coordination entre mes jambes et mes bras, donc n’allez pas me donner des pompoms. J’étais jolie, j’avais cette chance, et en plus j’étais intelligente. Une bonne élève. Et c’était ce qui poussait les garçons à se plier en quatre à mon bon vouloir. Je sentais dans ses réponses qu’Evan doutait un peu de ça. Peut être après tout. Ce n’était que mon point de vue.
Chapitre Sept: you’re just a good for nothing I don’t know
« B BB Boulet » je me retournais et vis une scène malheureusement trop souvent répétitive au lycée. Ryan Berkley qui se faisait prendre pour la tête de turc des grands débiles. Je soupirais doucement espérant qu’un jour Ryan en aurait mal de se faire ridiculiser et qu’il se rebelle un petit peu. Je passais mon chemin, c’était devenu habituel ici, comme faisant partie du décor. « Ah Eileen, viens par la ma chérie » ajoutait Steven avant de venir accrocher sa main à ma hanche et de pousser un peu plus loin Berkley qui alla voler contre les casiers. Sans m retourner je partais avec l quarter-back sans cœur. Oui ça ressemble un peu au cliché d’un mauvais film pour ado. « Tu devrais au moins les empêcher de le martyriser ! » me sermonnait Kloé. Elle était à la fac maintenant, Toujours ses quatre années de plus que moi. Et elle était surveillante dans le même lycée que moi. Elle n’aurait pas pu en choisir un autre. A cette époque on n’était plus aussi proche. « Mais pour quoi faire !? » elle avait levé les yeux au ciel et était partie. […] il était tard quand je sortis de la bibliothèque. Sur le campus tout était presque éteint. J’avais décidé de passer la soirée à réviser mon contrôle de physique du lendemain et j’avais résisté aux invitations insistantes de Steven de venir « faire la fête » avec lui et ses amis. Ou juste lui. Le message était assez clair … je n’avais ni l’envie, ni l’esprit focalisé là dessus pour le moment alors je l’avais gentiment éconduit. Sur le parking, je n’étais pas vraiment rassurée. « pourquoi faut il que quand on est dans un parking désert la nuit ta voiture soit la plus loin qui soit de l’entrée … » marmonnais-je dans ma barbe. C’est alors que j’entendis un bruit derrière moi. Hurlant de peur en voyant une silhouette près de moi je me précipitais dans la voiture m’y enfermant avant de réaliser, que c’était pas du tout un violeur ou psychopathe mais juste Ryan en caleçon recouvert d’œufs et de farine. « Bon sang … ils t’ont pas loupés mon pauvre … » dis-je en ouvrant la porte. « Allez viens je te raccompagne chez toi. » il allait entrer sur le siège passager quand je l’arrêtais. « Heu attend … tu vas en foutre partout. Ecoute au pire viens » instinctivement je le pris par la main pour l’emmener un petit peu plus loin, près du local de sport. Sur le terrain de foot je trouvais un jet « Tu me dis si c’est trop fort » et doucement j’entrepris de l’aider à se rincer. Ca devait pas être agréable du tout … vraiment pas … « Je reviens » rapidement je retournais à l’intérieur pour pouvoir prendre dans le vestiaire de Steven, comme quoi fréquenter le sportif sans cervelle de l’école peut avoir du bon, une serviette pour Ryan. « Tiens enveloppe toi la dedans, t’auras probablement moins froid ! » je soupirais doucement puis retournais vers le parking avec lui. « Allez monte, dis-moi où on va. » Il semblait surpris. Peut être oui parce que j’avais jamais réellement sympa avec lui. Enfin pour être honnête je ne lui avais probablement même jamais parlé auparavant. Je démarrais la voiture et le laissais m’indiquer le chemin. « Tu sais un jour faudra quand même que tu deviennes un homme et que tu t’imposes. Tu vaux très certainement mieux que ça ! » dis-je en souriant.
Chapitre Huit: but where’s your heart ?
Une baiser volé. Après l’épisode du parking on s’était revus, quelque fois. Sans savoir pourquoi ou comment. Il avait pris une place normale dans ma vie. Une place secrète mais normale. C’était déconcertant la rapidité avec laquelle je suis tombée amoureuse de cet imbécile heureux qui n’est même pas capable de se défendre. « T’es idiot tu sais … » dis-je doucement avant de l’embrasser. On se voyait en secret, pas que j’aie honte de lui, mais en réalité, j’avais plus peur qu’autre chose. Je ne voulais pas que Steven s’en prenne à lui. Je ne voulais pas qu’on lui tombe dessus. Ou qu’on l’insulte encore plus. Alors … je protestais un peu plus quand ils s’en prenaient à lui. « Allez Steven laisse tomber ça vaut pas le coup » et heureusement ça marchait de temps en temps. Je savais qu’on avait nos rendez-vous secrets. Rendez-vous que même son meilleur ami Mason ne connaissaient pas l’existence. […] Mais … il avait une autre manière de régler ses soucis. Comme si se droguer était une solution. Comme si se fourrer tout ce qu’il pouvait dans le nez était une manière de se faire respecter. C’était une fuite ni plus ni moins. Et embringué dans son délire de junkie … il finissait par m’oublier. Les rendez-vous manqués où il ne se pointait pas devenaient de plus en plus fréquents. « tu l’aimes n’est ce pas ? » m’avait demandé un jour de but en blanc Kloé. J’avais froncé un sourcil. « Ryan Berkley. Tu sais très bien de qui je parle. » je l’avais regardé sans comprendre. Enfin sans comprendre comment elle a pu comprendre surtout. « Co … » je la regardais estomaquée. « Tu restes ma petite sœur, je te connais ! » je baissais les yeux. « Oui … » dis-je simplement. On avait retrouvé notre complicité. On avait retrouvé notre bonne entente, ell n’avait pas besoin d’en savoir plus. « Eileen ! Hééé, Eileen » entendis-je à le fenêtre de ma chambre. C’était quoi ça. On se levait immédiatement pour aller à la fenêtre voir ce qui se passait. C’était Ryan … complètement défoncé. Même pas sûre qu’il soit conscient de ce qu’il est en train de faire. « Shhh, qu’est ce que tu fais là ! Tu vas réveiller mes parents ! » dis-je doucement en regardant Kloé avec une pointe de tristesse. « Bouge pas j’arrive » et je demandais à ma grande sœur de couvrir pour moi. Elle me donnait les clés de son appart. Pas question de le laisser venir à la maison, mais encore moins de le laisser rentrer chez lui. « Merci Kloé » lui dis-je reconnaissante. Une fois dehors j’attrapais Ryan par le bras. « Allez viens là toi … » lui en vouloir était au dessus de mes forces. Je pouvais pas … non je pouvais pas … « J’suis désolé de pas être venu au rendez-vous » je souriais doucement « Shh t’en fais pas … » je liais ma main à la sienne. « Je t’aime tu sais Ryan … » lui dis-je pour la première fois.
Chapitre Neuf: and when we go don’t blame us
« Qu’est ce qu’il y a ? » j’étais en plein dans les révisions. Ce n’était pas évident et surtout très prenant. Mais les parents avaient voulu à tout prix qu’on soit là pour le repas ce dimanche. Je m’étais encore disputée avec Ryan la veille au soir. Et je ne pouvais pas en parler. Si Kloé savait, je ne voulais pas l’emmerder avec ça bien qu’elle nous couvre régulièrement. Et je ne voulais pas en parler à Evan de peur qu’il pense que je l’aie remplacé. J’étais épuisée. « Bonjour maman » « Bonjour ma fille » elle m’avait l’air très pâle. Est ce qu’elle allait bien ? J’en savais trop rien à vrai dire. « Bonjour papa. » murmurais-je en déposant un baiser sur sa joue. Kloé qui était déjà à table me saluait d’un habituel « Salut sis’ ! » et je m’affalais sur la chaise en face d’elle. « Je peux pas rester trop longtemps, j’ai beaucoup de révisions pour cette sem- » « J’ai le cancer » j’ouvris grand les yeux. La voix de ma mère se brisait et je me levais pour l’entourer de mes bras. « Maman … » « le même que mamie … ce qui veut dire que ce n’est malheureusement … » « pas vraiment très encourageant … » et tout d’un coup je comprenais. La visite en Europe. La peur de ma mère. Et tout d’un coup tout remontait. Tout revenait. Je ne me sentais pas bien. Mais je serrais les dents pour ne rien montrer. Je retenais les larmes et je devais probablement avoir une tête horrible. « Je t’aime maman, je serai là … je te promets que je serai là » « mais c’est pas ton rôle d’être là » « bien sûr que si, c’est mon rôle ! » En l’espace de quelques secondes … toutes mes révisions pour la fac avaient basculé dans l’oubli et l’inutilité. […]« J’en ai marre Ryan. Tu me prends pour une idiote ou quoi, je sais que tu prends de la drogue. Je sais que tu continues à passer ton temps avec Mason, je t’en veux pas, tu fais ce que tu veux. TU VEUX FOUTRE TA VIE EN L’AIR GRAND BIEN TE FASSE, MAIS BORDEL LAISSE MOI EN DEHORS DE TOUT CA, D’ACCORD ! » la tension était à son comble. J’avais arrêté le lycée sans prévenir pour rester chez moi et m’occuper de maman dont l’état ne faisait que s’empirer. J’étais très préoccupée par lui. Et honnêtement, je n’avais plus le temps de gérer ses problèmes et les miens. « Tu veux rester dans ta merde avec ton pote de merde, tu le fais, mais oublie moi Ryan, oublie moi. Quand tu auras décidé de te laisser pousser une paire de *** tu reviendras me voir d’accord ! » je n’étais pas tendre. Et je ne savais pas ce qui se passait de son côté. Trop obnubilée par mes propres problèmes je n’imaginais pas qu’il pouvait en avoir des à lui aussi. « Toi et moi c’est fini Ryan, d’accord. Comment j’ai pu être avec un minable comme toi … » dis-je avant de claquer les talons et de m’éloigner à grand pas.
Chapitre Onze: I am not afraid to walk this world alone
Evan est arrivé pour la faculté de droit un peu de temps après la fin de l’année scolaire. J’avais continué à lui raconter tout, sauf à propos de Ryan. Et j’avais trop de mal a supporter la réalité de la mort imminente de ma mère pour pouvoir le coucher sur papier. Je voulais attendre de le voir en face de moi. Je voulais probablement même qu’il s’en rende compte lui même. Et ça n’a pas manqué. Il m’en a un peu voulu de ne pas lui en avoir parlé. « En parler. A toi surtout c’était rendre la chose trop réelle. » on a passé tous l’après-midi au chevet de ma mère. Et trois mois après la révélation … elle était emportée « putain de maladie » marmonnait mon père dans son costume noir à l’église. Je posais ma main dans la sienne. Kloé de l’autre côté bien évidemment. Les cousins, la famille de ma mère était venue aussi. Et ce soutien, même de personne que je ne connaissais que peu faisait du bien. Dire que je les avais jalousé de pouvoir ressentir quelques années plus tôt … si seulement je pouvais de pas savoir … « Ma mère était une personne extraordinaire. Elle a toujours donné son corps et son âme à ce qu’elle faisait. Pour les causes qu’elle pensait juste. C’est celle qui m’a appris à conduire sur le parking. C’est elle qui a réparé mon doudou tout en lambeaux. Elle est un ange parmi les anges. Et elle est partie trop tôt. Son absence me pèse déjà, mais elle sera toujours dans mon cœur. » j’avais failli tomber en descendant de l’estrade, sous le poids de l’émotion, sous la douleur de la réalité crue. Qu’elle était morte. « Elle aurait voulu que tu l’aie » murmurais KLoé alors que mon bras tenait fermement celui d’Evan. Elle me donnait l’alliance de maman. Une larme puis des millions. Les vannes ouvertes, je n’étais qu’un âme en peine. […] Je m’en étais immédiatement voulue, surtout qu’il avait déménagé. C’était certain, i était l’homme de ma vie et je l’avais laissé partir, je n’avais pas su l’aider, l’accompagner. J’aurai probablement du lui accorder plus d’intérêt, d’importance. J’aurai du, le hurler à tout le monde. « Eileen aime Ryan … Ryan aime Eileen » c’était si simple et tellement compliqué à la fois … Alors j’avais cherché du papier, et j’avais couché dessus tout ce que je ressentais pour lui. La tristesse, la culpabilité. La gêne, mais surtout le repentir. La honte de n’avoir pas cru en lui, et surtout mon amour, mon amour indéfectible pour lui. Aucun réponse.
Chapitre Douze: my way home is through you
Le temps était passé, les années avaient défilé. J’étais plus la fille de 20 ans … mes blessures étaient plus ou moins cicatrisées. Ou du moins en tout cas oubliées, reléguées à un coin noir et obscur de mon inconscient. J’avais vu mon père consumé par la douleur. Par le manque de ma mère. Ça l’avait ruiné, ça l’avait détruit à petit feu. L’amour fait des ravages. Et je me suis jurée de ne plus jamais y gouter, de ne plus jamais m’y laisser aller. Ca évite les soucis. Je m’étais inscrite dans un groupe d’aide pour les junkies. Je m’étais aussi dégoté des petits boulots pour subsister. Papa avait à se débrouiller seul, et avec mes premières économies je lui ai racheté la maison à Chatham pour qu’il y vive plus tranquille qu’à Washington. C’était ce qu’il avait fait dès qu’il a pu. « je vous aime les filles ». « on t’aime aussi papa » « on t’aime aussi papa » avait-on une nouvelle fois répondu de concert avec Kloé. Kloé et moi habitions ensemble à présent. C’était plus simple. C’était agréable. Evan était là aussi, dès qu’il le voulait. C’était Evan quoi. Et puis grace à lui j’ai trouvé un boulot. Il a réussi à me faire embaucher dans son cabinet d’avocats. Je ne suis qu’assistante hein, je n’ai aucun diplôme à donner, pour être serveuse c’était pas grave, mais … il faudrait peut être aspirer à plus … non ? Au boulot et en dehors du boulot on était inséparables les meilleurs amis de folie. […] Son ex était une vraie conne. Et j’ai bien essayé de le lui dire, mais faut bien avouer qu’Evan il en fait qu’à sa tête. « Comme tu veu Evan de toutes manières je serai là pour te ramasser à la petite cuiller. » et dans un sens j’espérais me tromper, je ne souhaitais pas son malheur. Mais voilà, j’avais eu raison. Des ex nous en avions l’un comme l’autre. Personne ne restait de manière trop définitive dans notre vie. Et je répétais à qui voulait l’entendre que « je n’ai besoin que d’Evan dans ma vie. » Ryan … non ne pensons pas à Ryan. […] Putain qu’ils sont gonflants ceux là. Attends, viens là. Et sans plus attendre je m’approchais de lui pour le forcer à m’embrasser. Rien de romantique, rien de sensuel ou de sexy. Le but était de décrocher les deux sangsues qu’on avait aux basques. Le problème étant que … ça n’est pas resté au simple baiser pour les repousser. Tout s’est enchainé rapidement. Et peut être trop rapidement d’ailleurs. Les lèvres se sont retrouvées encore, et adieu les fringues … « C’était quoi ça ? » c’était la première fois que je passais la nuit avec lui … de cette manière là. J’étais encore un petit peu choquée. « C’était pas mal, à refaire même » dis-je avant d’éclater de rire et de me tourner pour le regarder. C’était bizarre. Je ne ressentais rien, pas d’amour en tout cas. Il n’avait pas bougé à mes yeux. Il était toujours le même. Mon Evan, mon meilleur ami pour qui je serai capable de tout faire. Je m’approchais de lui doucement pour lui voler un baiser. « HA! » je me mis un peu à rire et me relevais pour me rhabiller. « Je t’avais bien dit que c’était moi qui embrasserait le plus de gens. » et je sortais de la pièce.
Dernière édition par Eileen J. Nolands le Lun 23 Juin - 14:50, édité 21 fois
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:27
Bienvenue
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:34
merci beaucoup :D
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:38
Comment ça y a des fissures? Je comprends pas du tout ce qui ça veut dire tout ça *You're beautiful, I miss you Eileen* Welc'home la deuxième partie de ma folie
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:42
Très fertile tu dis ? bienvenue chez les fous
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:44
ryan - fais attention à ce que tu dis toi Berkley! on se demande qui a fissuré tout ça hein
roman - Merci beaucoup :D Oui très fertile oui, je sens encore venir une longue présentation. Si vous avez rien contre mini 3-4 pages word de bio :light: : j'essaye de faire ma fiche rapidement. Non pour être honnête si je bossais pas demain à midi je la ferai d'un trait là ...
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:45
J'adhère , comme dit le fameux dicton, "plus c'est long, plus c'est bon"
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 1:57
haha, alors j'espère que ça sera bon pour vous
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 6:20
MAIS AZY, T'as une gueule d'ange c'est juste pas possible jotem. Viens faire des calinous. Bienvenuee !
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 8:38
TOUT LE MONDE VIENT CEST LA FETE. Welcome Kusummmmmmmmmm, des papouilles partout
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 9:27
MICKEY - je suis aussi un ange haha *va lui faire plein de calins tout doux* BRAN - ouiiiii c'est la fête haha merciiiiii toi aussi des papouilles :D
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 9:44
Bienvenue Hâte d'en savoir plus sur Eileen Carey est parfaite
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 11:15
Bienvenue sur le forum Bon courage pour le reste de ta fiche
Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 12:06
Superbe choix ! Bienvenue parmi nous, et j'ai hâte de lire ta fiche du coup
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 13:34
Il faut être fertile pour nos personnages. Casey se fait rare sur les forums. (a) Bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 19:54
Bienvenue et bon courage pour ta présentation
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Dim 22 Juin - 20:55
Gosh, Carey elle est si parfaite Bienvenue
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Lun 23 Juin - 10:09
vous êtes tous des amours hate de rp iciiii
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Lun 23 Juin - 11:38
Ta fertilité m'a buté de feels *Love youuu*
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Lun 23 Juin - 13:35
wow mon Ryan jotem. Je suis contente que à fiche te plaise vu que chui théoriquement ton scénario. Haha. Et je te rassure ma fertilité de sept pages ma tuée aussi J'ai finiiiiiiii les loulous <3
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Lun 23 Juin - 19:12
la date de naissance 05/50 c'est normal ?
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Lun 23 Juin - 19:14
Heuuuuuu, non bien sûr que non XD c'est changé
Wes Oakley
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we all have the potential to be heroes
AFFAIRES CLASSEES ↦ : 738 ADRESSE ↦ : #26, adams morgan w/ maeve stark
Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures Lun 23 Juin - 19:44
WELCOME A TOI LE HEROS ! ------- Je valide très chère, cette fiche est plus que parfaite ! J'aime quand on est inspiré de la sorte
Et voilà bravo, tu as enfin fini le dur boulot qu'est de faire sa fiche de présentation. Si nous sommes là c'est non seulement pour te féliciter, mais aussi pour t'envoyer du courage pour ce qui t'attend ensuite ... Il t'est donc maintenant possible d'aller te chercher un toit parce que vivre dehors c'est pas super génial. Et bien sûr pour pouvoir avoir une belle maison, il te faut gagner de l'argent parce que sinon ça veux dire que t'as de l'argent qui tombe du ciel, et là faudra que tu nous donnes ton secret on en serait ravis !! Enfin, comme tout être humain sur cette planète, tu ne souhaites pas mourir seul avec tes chats et de ce fait tu dois te construire une vie sociale et si t'as vraiment peur de ne pas pouvoir t'adapter, ou que les autres te mangent il est possible pour toi d'avoir des amis imaginaires (on ne juge pas!) Enfin faut les créer quand même, et ça c'est une autre histoire !! Voilà, maintenant tu es toujours okay pour nous suivre dans cette aventure, lance toi
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Sujet: Re: eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures
eileen • coeur brisé cherche rouleau de scotch pour combler les fissures
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